edurtreG est en quelque sorte le miroir de Gertrude, un
espace où elle est censée se regarder sans complaisance, mais également ce lieu
où l’image reflétée oscille entre déformation volontaire, de la grimace à la
tentative d’embellissement, et vérité. L’image est virtuelle, d’autant plus
virtuelle que l’objet qu’elle redouble n’a de raison que l’espace virtuel
d’Internet ; elle est en même temps reflet des activités gertrudiennes par
l’explication, l’analyse, la prise de distance vis-à-vis de ces dernières, mais
aussi le contraire de ce qui est montré dans le blog de Gertrude qui fonctionne
sur des choix implicites (pas toujours perçus par mes interlocuteurs) ; en
effet edurtreG ne sera que du texte et
penchera forcément plutôt du côté de l’explicite.
Menteuse ! Ce miroir sait bien que Gertude est la plus belle, même à l'envers !
RépondreSupprimerJ'adore l'envers de sa binette.
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